Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Vicious Rumors

8 août 2006

Jeune & Jolie

L'avantage du retour de la patronne dans la boite, c'est que je n'ai plus à me vanter d'avoir un cerveau de blonde comprenant toutes les mésaventures de Gwyneth Paltrow. Notons que je n'ai point fait de fautes d'orthographe sur son nom ce qui est ma foi un miracle. Cependant le désavantage de cette situation mes cher amis, c'est que je n'ai plus de ragots dont vous vous réjouissez à vous conter pour vous endormir. Hélas, j'ai une mauvaise nouvelle en plus, bientôt vous devrez vous passer de ma compagnie inestimable, puisque je vais aller faire dorer mon corps sur de belles plages. Ne pleurez criez pas toute de suite délivrance, je reviendrais vous faire part de mes notes terriblement transcendantes dans pas si longtemps que ça, sachant que je pars point toute de suite, mais que le date approche terriblement vite.
Que vous dire de passionnant sur ma journée, à ranger des pieds, non je n'ai assasiné personne, je vous rappele que je travaille parmi Odeur de pieds n°5 de Chanel. Ma très chère et adorée patronne qui laisse sur son passage une odeur de pestiferée, m'a donc fait faire toutes les tâches ingrates que l'on fait faire aux nouveaux dans une société. Tandis que je m'imaginais sur mon fidèle cheval blanc, parcourant de grandes plaines désertes, coupe de champagne à la main, nue dans un champ... Je m'égare.
Journée fort ennuyeuse ma foi, je vis en simultané les rebondissements de L'île de la tentation, car je connais une très chère fan dont je tairais le nom. Et je me prépare mentalement à mes dernières huit heures d'ennui, avant de terminer, bourrée 24h sur 24 en compagnie de personnes fort plaisantes, qu'il est bon d'être presque en vacances.

Il y donc eu un vainqueur à la dernière question, une photo de mon corps doit donc appaître ici.
La voici, sans tarder.

Sans_titre

J'avais oubliée de préciser ma schizophrénie qui me fait me prendre pour Paris Hilton.
Fouettez moi. Punissez moi.
Que j'adore ça.

   

Publicité
Publicité
8 août 2006

Lucky Star

Réglement de compte en public, quoi de plus pire pour crucifier une victime. Même pas l'exaltation de faire parti de l'unique spectatrice.
Il fallait bien que ça explose, tout cette vérité que se l'on cachait depuis si longtemps.
Avoir les nerfs, si seulement je m'énervais plus souvent, je suis sûre, ça a des effets très bon, entre le cerveau qui brûle des neurones pour devenir de plus en plus efficace, les frissons dans le bas du dos, les fous rires incontrolables par le manque d'argumentation.
Non en fait, tout compte fait, ce n'était pas une si mauvaise soirée. Et puis, je suis sûre que j'ai grillé les calories de mes trois cannettes de coca cola pas light. P'être que je devrais même remercier ces tierces personnes !

Je souhaiterais maintenant démentir une rumeur de la plus haute importance, non je ne suis pas méchante avec les animaux. Je n'ai jamais blessée un humain quelque chose sauf par inadvertance, non pas maladresse ! Or, ma condition de femme parfaite m'empêche de commettre de tel crime. C'est pourquoi je laisse le sale boulot à mes esclaves.
Maintenant que vous savez tous que je suis la plus une gentille personne extraordinaire, je peux me rendormir tranquille. Non que votre opinion est un quelconque effet sur moi, mais qui sait, ça peut peut-être servir.

Passons aux potins du jour, ma mère adorée débarque donc dans ma chambre accompagnée d'un bel air de piano, que c'est romantique, mais non, ce n'est que la voisine qui s'entraine. Elle s'installe ainsi sur mon lit confortable, et commence à me débiter les dernières nouvelles complétement hors d'elle. Tenant ses sources de ces différentes bibles tel que Public, eh oui encore, ou Voici, ou encore France Dimanche.
Tendant l'oreille intriguée par tant de ferveur avant l'heure du déjeuner, il paraïtrait que Christina Aguilera serait amoureuse, c'est pas trop tôt, elle commençait à me gonfler avec son "Voulez vous coucher avec moi ce soir ?" d'ailleurs, il paraitrait même qu'elle épousé ce cher homme. En voilà une de moins, et voilà ma mère réjouit.
Passons à la news choquante du jour : Angelina Jolie, ne voudrait être servie que par des femmes. Evidemment, vu comme ça, je veux bien devenir serveuse. Pas taper ! Quelle féministe celle là...
Et bientôt les photos en exclusivité de Nicole Richie nue, la décapitation de Paris Hilton, et le mariage de Tom Cruise. Et sinon Zidane ? Bah il tape encore...

Hop, et si vous trouvez de quelle chanson, proviennent ces paroles, le cadeau sera une photo de d'une partie de mon corps.

"In the worst way, it's the buzz"

7 août 2006

Fuckin' Memories

Parfois, quand on se fait chier principalement, on a des souvenirs plein la tête, les chansons de Dorothée, les danses stupides sur les 2 be 3, et dans ces moments là, c'est souvent les mauvais souvenirs qui prennent le dessus.
Ceux, qui nous hantent, un peu. Comme une saloperie d'invité indésirable. Vous me direz, les invités sont presque toujours des mécréants non désirés. Mais je m'éloigne.
Revenons à ces joyeux souvenirs. Ils ont tendance à arriver à cause d'un petit rien, prenons l'exemple d'une chanson qui arrive par la volonté de dieu winamp. Comme par le plus grand des hasards, cette chansons pousse au suicide, et en plus, elle raconte quelque chose qu'on a plus au moins vécu. Qu'ils sont cons ces artistes. Donc cette chanson arriva à un moment où je m'y attendais peu, moi et mon fidèle sourire carnassier aux lèvres. Tout d'un coup ma gorge se noue etc, je vais pas vous faire un dessin. Et puis ces souvenirs de merde remontent à la surface comme par magie. Des sourires qui s'affichent, des mots qui trébuchent, qui sonnent faux, ou qui sous-entendaient déjà la vérité. L'hypocrisie de la situation.
Bien sûr, on aurait pu éviter tout ça. Mais c'était comme un passage obligé, un gouffre sans fond dans lequel on s'enfonce sans se contrôler. Et puis, une fois que ça éclate, une fois qu'on l'a fait, cette connerie qui nous mordait les doigts. Il nous reste plus rien. Le désarroi, les regrets bien sûr. Plus rien. Un vide immense. Comme si d'un coup tout avait perdu de son sens. Comme si finalement, nous n'étions qu'un moyen, que dis-je, que je n'étais considérée que comme un moyen. Un simple objet, loin du statut de fin en soi qu'est soi-disant l'Homme.
Certes, je suis jeune, naive, et fan de Loana. Mais avant cette mésaventure. J'avais du respect, de la considération. Et encore un peu d'honneur. J'en suis ressortie meurtrie. Blessée dans mon orgueil. Parce que finalement, j'avais ruiné tellement de choses pour quasiment rien.
C'est à ce moment tragique, qu'on est censé dire, si j'avais su.
Mais hélas, je savais.
Pas sur le moment bien sur, mais je m'en doutais suffisamment.
Non, je n'avais pas la naïveté de croire en quelqu'un comme elle.
Non je n'avais pas cette naïveté d'avaler ses promesses, de croire simplement qu'elle aurait pu être ce qu'elle disait.
Mais ce n'est rien de plus qu'une salope. Une salope qui a failli tout ruiner. Bien que je n'enlève rien à mes fautes. Si seulement, elle avait eu ce respect. Ce respect qui ne demeure plus à personne.
Bien sur, j'ai oublié depuis, tout ce que j'avais pu croire, tout ce que j'avais pu entendre.
Je n'ai retenu plus rien, je n'y accorde même plus d'importance.
Mais il est fort dommage d'être déçue, encore une fois.
Mais je ne lui en veux pas, c'est pire que ça.

Comme quoi, il ne faut faire confiance à personne.
Ces souvenirs passent aussi vite qu'ils arrivent, ils me laissent toujours ce goût amer au fond de la gorge.
Heureusement, qu'il en reste une, qui ne m'a jamais déçue. Malgré tout ce que je lui ai fait subir.
Je prends conscience, de ce qui nous est arrivé. Et je suis d'autant plus fière d'avoir traversé ces épreuves avec toi.

Reprenons avec un peu de légéreté, vous qui regardez avec avidité tout les samedis soirs, les épisodes de Lost, vous demandant sans cesse, mais qu'est il arrivé aux survivants ? Je ne peux vous répondre, qu'une chose, moi je sais. Et il faudrait payer pour m'arracher la vérité. Ou m'offrir des escta-terrestre (© theman)

Je vais de ce pas me nourrir d'une salade verte allegée en salade. Et bon appétit bien sur.

7 août 2006

Sixteen

En tant que parisienne aimable, adorant détestant sa ville pleine monde, et surtout très ensoleillé, il a fallu hélas que je me rende compte que malgré mon corps magnifique, j’étais affreusement blanche comme un cul. Prenant tout d'un coup conscience de cet épisode tragique (hum), je me précipite accompagnée de mes fidèles lunettes de soleil, armée de Paulo Coehlo - Onze Minutes, et guettant les faibles rayons de soleil à travers de gris nuages.
Ne perdant point espoir, et vétue de mon plus beau maillot de bain transparent, convaincue de pouvoir ainsi mieux attirer les rayons du soleil sur mon céleste corps. Car oui, tout le monde le sait, le soleil, ne résiste pas à griller rendre magnifique les filles toutes blanches. L'aventure commence donc avec ces quelques rayons de soleil qui viennent réchauffer mon corps. Ainsi, je reprends confiance en moi, parce que c'est bien connu, on bronze en cinq minutes à Paris. Quand, tout à coup, suspence. (le public retient son souffle, oui toi aussi là devant) De gros nuages noirs apparaissent juste au dessus de ma tête. Mon intelligence démesurée m'avertit et je me précipite à l'intérieur, tandis qu'un énorme orage me poursuit. Résultat à la fin de la journée, le soleil ne m'aime pas, je ressemble toujours à un gros cul.
Et surtout, l'épreuve du maillot de bain est pour dans huit jours, et j'ai pris au moins 500 grammes. Mon dieu, quel tragédie, où sont passés mes pillules amincissantes ?

Cependant il y a l'art de parler de cul sexe, comme le fait si bien Paulo Coehlo, et l'art de passer pour un pervers fan de série X, comme le fait Françoise Rey. Mais peut-être aussi parce que le deuxième exemple est un livre carrement érotique. Mais que fait le monde mon très cher père ?
J'ai donc appris, que certaines personnes ressentent de la douleur en chiant allant faire leurs besoins, et que cela pouvait être évoqué comme un accouchement. Ah bah ouais, on utilise tous les trous toutes les possibilités maintenant.
Je ne vais point jouer ma prude que je suis, mais cependant, il y a des pratiques assez conceptuelles dans ce bas monde.
Je vais finir par prôner le sado-masochisme pour éviter de devoir me confonter à la scatophilie. Comme quoi, ce cher La Bruyère, qui m'a valu un 12 au bac, avait raison, les sexe moeurs évoluent avec le temps.

Notons tout de même cher et très nombreux lecteurs, que si nous tapons le nom de ce Ô combien estimé blog sur google image, nous tombons sur une bande de primates, torse nu, et aux cheveux longs.
Hélas, je dois vous avouer, que nous avons aucun des lien de familles.
Toutes mes sincères condoléances.

6 août 2006

Another Lonely Night

En cette fabuleuse ennuyeuse soirée, je n'ai rien trouvé de mieux que de laisser à mon cher et tendre ami, j'ai nommé winamp, de choisir la douce musique qui allait bercer ma longue soirée en solitaire face à mon écran, mon fidèle ami qui me ruine les yeux.
Or celui ci, ne cesse de mes jouer de vilains tour, tout d'abord, il s'évertue à ne passer que des chansons des choses dont je n'avais même plus le souvenir d'avoir conservé, en passant par les rebelles Kyo, puis par la magnifique comédie musicale Roméo & Juliette. Il ne manque plus que Paris Hilton et son Star is Blind pour m'achever. Je vous avais dit que ma culture people était un monument mis à jour régulièrement. Hélas.
En ce dimanche, pour occuper ces longues et passionnantes mornes heures à ne rien faire que des belles choses. J'ai attrapé de mes deux belles mains, le livre d'Amélie Nothomb, dont la critique est très bonne. Hygiène de l'assassin. Ainsi, assise sur mon balcon, armée de mes fidèles lunettes de soleil, oui parce qu'il a fait presque beau aujourd'hui. Eh bien ma foi, cela faisait longtemps qu'un livre ne m'avait pas autant emmerdé ennuyé. Tout fut trop prévisible. Franchement mal écrit, j'ai presque honte pour elle. Autant, j'avais une mauvaise opinion d'elle en sachant qu'elle écrivait ces bouquins d'une traite sans se relire, autant j'ai une détestable opinion de ce bouquin. Tout d'abord, voyons voir, 4 journalistes qui se font humilier par un écrivain au seuil de la mort, et tout d'un coup, une femme arrive, et elle le fait avouer son crime. Disons que le scénario manque de recherche et de créativité. Et à mon grand regret, la fin était plus qu'attendue.
Donc, je me demande à cet instant même, si la critique fabuleuse que j'ai lu, parlait du même livre que j'ai eu entre les mains, ce dont je doute.  Ou bien, ce critique est un énorme crétin sans culture littéraire a un gout prononcé pour la litterature de bas étage. Donc, ne voulant pas rester sur une mauvaise opinion de la dame, je me précipité sur une de ces nouvelles appeler avec beaucoup d'inspiration "Sans nom". Je me lance donc dans cette lecture, oubliant tout mes préjugés, que je suis tolérante. Eh bah, je n'ai pas dépassé les 10 premières pages, sachant que la nouvelle, en fait 20. C'est peu.
Je raye définitivement cette cher Amélie Nothomb de ma bibliothèque, d'ailleurs je cherche un acheteur potientiel pour Hygiène de l'assassin. Présentez vous, je vous ferais un bon prix, parce que je suis extremment gentille.

Et maintenant, la photo tant attendue de mes fesses mes lunettes noires.

DSC04567

Publicité
Publicité
6 août 2006

New Arrival

J'ai toujours voulu écrire, une nouvelle à l'eau de rose, ou fantastique, ou de science fiction. Un truc tellement passionnant qui vous empecherez de dormir la nuit, avec des monstres pas ringard, des humains pas con, des femmes pas niaises, des aventures palpitants, pas dans l'espace parce que c'est démodé. Utiliser des belles métaphores pour dire des belles choses vulgaires qui ne choque pas. Inscrire mon nom dans l'éternité à coté de Balzac, Zola, Hugo etc. Devenir la nouvelle Marguerite Duras. Mon magnifique portrait dans tout les salons, mes mots sur toutes vos lèvres. Et puis dévier, devenir comme Kate Moss, l'idole des jeunes groupies ainsi que ce cher Pete Doherty, qui se drogue, qui tombe dans la déchéance mais que vous aimez d'autant plus.
J'aurais écrit des lignes et des lignes sur la strangulation, et comme tous les artistes, j'enverrais paître les plus grands journalistes. Je deviendrais misantrophe, à l'image de Molière. Je parcourais les rues avec des grosses lunettes noires à la Matrix, tentant d'échapper à ma horde de fans et aux paparazzi qui ont tué Diana.
Jouant dans la cour des grands, fumant des Vogues extra-légère par peur de mourir d'un cancer.
Mais au lieu de cela, je suis atteint d'une flemmigite aigue. Je n'écris que pour vous, soyez flattée. Qui sait, peut-être que ce blog, sera un jour publiée, et que vous crierez mon nom sous mon balcon à la manière de Roméo. Non je ne m'appele pas Juliette.
A la place de Vogue, je fume des Dunhill, et je bois de la vodka à défaut d'un martini pomme. Je n'ai pas la classe légendaire de Kate Moss, ni ces jambes de la taille de deux bics.
Ma horde de fans se fait discrète, d'ailleurs je ne l'ai jamais aperçue.
Je me dévoue tant bien que mal à ces admirateurs discrets qui admire ma magnificiance en secret.

En attendant que mon oeuvre me hisse sur le devant de la scène, j'attends patiemment qu'un chercheur de talents me découvre. Je songe fortement à parcourir toutes les rues de la capitale afin de le croiser un jour. Mais sont tombés dans mes filets, que de pauvres vieux désaxés et pervers, un peu alcoolisé, qui me trouve fort "charmante". D'ailleurs aussi dragueur que vous êtes, vous devriez changer de disque, on finit par se lasser d'entendre toujours les mêmes compliments.

Mais je sais, qu'à défaut d'être adulée, je suis aimée.
Et ma foi, je ne sais guère, mais je songe fortement que ceci, est bien mieux que toute la gloire que je pourrais obtenir.

Bientôt en exclusivité, une photo de mes fesses mes lunettes noires.

6 août 2006

Yesterday is here.

En tant que jeune fille bien, et très belle. Je suis exploitée par ma patronne parce que celle ci est jalouse de ne point posséder ma beauté, mon intelligence, mon tact etc.
Donc en plus, d'avoir un boulot à la limite de la blondeur, parce que quand même vendre des chaussures, il ne faut pas un CV bien rempli. La preuve, le mien était vide, et j'ai été embauché sans même passer sous le bureau. Revenons-en à nos moutons ma patronne, donc celle-ci, bien contente d'avoir une jeune à ces ordres, en profite pour m'envoyer faire ces courses, me faire passer l'aspirateur, et surtout, comble du comble, me faire lire des magazines, tel que Public ou Closer. Vous pouvez à partir de ce moment imaginer sans problème mon désarroi. Moi, du haut de mon 150 de QI au moins, travaillant avec une blonde. Mais qu'avais-je donc commis de si terrible ?
Voulant recevoir ma fabuleuse maigre paie à la fin du mois, j'use et abuse de patience, tandis qu'elle me raconte l'anorexie de Victoria Beckham, la boulimie de Lindsay Lohan, et pire encore la grossesse difficile d'Angelina Jolie. Je me concentre énormément pour garder mon sourire ainsi que ma sympathie légendaire, et prends ma voix la plus hypocrite douce et intéressée pour ne pas avoir l'air de m'ennuyer.
Et le pire, c'est que cela fonctionne à ravir, donc que chaque après-midi, elle prend un malin plaisir sadique  à partager toutes ces fabuleuses informations avec moi.
Depuis un mois, une chose est sûre, je peux parler avec des blondes des stars les moins plus branchées à Hollywood sans me sentir cruche. Enfin, si mais comme elles.
Je peux même parler sans honte à des gens que je ne connais point de Britney et son deuxième enfant, du mariage d'Avril Lavigne.
Persuadée à mon jeune âge que le monde du travail n'est point pour moi, j'attends avec impatience la fin de mon contrat, qui m'aurait permis d'avoir une expérience enrichissante du monde du travail des peoples.
Comme quoi, il n'y a pas de sot métier, et je regorge de nouveaux sujets passionnant de conversations.

Et pour que vous soyez vous aussi au courant, Lindsay Lohan, avant sa crise de boulimie, et après.

Que je suis généreuse, n'est ce pas ?

Avant

Après

normal_hq001


6 août 2006

One Last Shot.

Il y aurait tellement de choses à vous dire. Tellement d'histoires stupides à vous raconter, pour vous faire rire. Pour que vous ayez une sympathie démesurée pour cette nouvelle et extraordinaire que je suis, que vous venez de rencontrer.
Je pourrais vous séduire à coup de mots bien choisis, de photos dénudées montrant mon corps parfait brillant sous mille flash. M'assurer par la même occasion votre fidélité, puisque c'est bien connu, le cul, ça fait fureur. Ne faites point vos vierges effarouchées, on est tous pareil. Et ce serait vain de le nier.
Bien sur, il faut une exception, pour confirmer toutes règles. Faites moi un signe si vous avez le bonheur, que dis-je la chance de la rencontrer un jour.
Je me suis quelque peu éloignée du sujet principal. Je voulais donc, me présenter quelque peu, pour le début de ce nouveau énième blog, mais il parait que pour que quelque chose marche bien, il faut entretenir le mystère, ou être québecoise.
Et donc en tant qu'égocentrique, mégalomane, narcissique et tout les adjectifs du même genre, je ne voudrais point me laisser déshabiller découvrir tout de suite.
Je vais donc faire appel à votre patience avant que vous ne puissiez contempler mon corps mon intelligence à l'oeuvre dans ce fameux blog.

chantier_20interdit

Publicité
Publicité
Publicité
Derniers commentaires
Publicité